Consultation des fables par livre.


 


25 titres correspondent au critère de recherche sur le livre I.

Recueil
Livre
Fable
Titre
Vers
Morale et/ou Extrait
I
1
I
1
Non
classée
16
I
1
I
1
Non
classée
0
I
1
I
1
Non
classée
0
I
1
I
1
I
1
22
Vous chantiez ? j'en suis fort aise.
Eh bien ! dansez maintenant.
I
1
I
1
II
2
18
Apprenez que tout flatteur
Vit aux dépens que celui qui l'écoute.
I
1
I
1
III
3
14
Tout Bourgeois veut bâtir comme les grands Seigneurs
Tout petit Prince a des Ambassadeurs,
Tout Marquis veut avoir des Pages.
I
1
I
1
IV
4
19
Il n'est pas toujours bon d'avoir un haut Emploi
I
1
I
1
V
5
41
I
1
I
1
VI
6
18
...le Lion par ses ongles compta,
Et dit : "Nous sommes quatre à partager la proie. "
Puis en autant de parts le Cerf il dépeça ;
Prit pour lui la première en qualité de Sire :
"Elle doit être à moi, dit-il ; et la raison,
C'est que je m'appelle Lion :
A cela l'on n'a rien à dire.
La seconde, par droit, me doit échoir encor :
Ce droit, vous le savez, c'est le droit du plus fort
Comme le plus vaillant, je prétends la troisième.
Si quelqu'une de vous touche à la quatrième,
Je l'étranglerai tout d'abord."
I
1
I
1
VII
7
35
On se voit d'un autre œil qu'on ne voit son prochain.
I
1
I
1
VIII
8
59
Nous n'écoutons d'instincts que ceux qui sont les nôtres
Et ne croyons le mal que quand il est venu.
I
1
I
1
IX
9
28
Fi du plaisir
Que la crainte peut corrompre.
I
1
I
1
X
10
29
La raison du plus fort est toujours la meilleure.
I
1
I
1
XI
11
28
Notre âme, c'est cet homme amoureux de lui-même ;
Tant de miroirs, ce sont les sottises d'autrui,
Miroirs, de nos défauts les peintres légitimes.
Le "Livre des Maximes" de La Rochefoucauld est le miroir (dans la fable, le canal duquel l'homme ne peut détacher son regard) dans lequel il se voit tel qu'il est.
I
1
I
1
XII
12
28
I
1
I
1
XIII
13
14
I
1
I
1
XIV
14
67
On ne peut trop louer trois sortes de personnes :
Les Dieux, sa maîtresse et son roi.
Malherbe le disait ; j'y souscris quant à moi :
Ce sont maximes toujours bonnes.
I
1
I
1
XV
15
15
I
1
I
1
XVI
16
20
Le trépas vient tout guérir;
Mais ne bougeons d'où nous sommes:
Plutôt souffrir que mourir,
C'est la devise des hommes.
I
1
I
1
XVII
17
31
Je vous rends, leur dit-il, mille grâces, les Belles,
Qui m'avez si bien tondu ;
J'ai plus gagné que perdu :
Car d'Hymen point de nouvelles.
Celle que je prendrais voudrait qu'à sa façon
Je vécusse, et non à la mienne.
Il n'est tête chauve qui tienne,
Je vous suis obligé, Belles, de la leçon.
I
1
I
1
XVIII
18
28
Trompeurs, c'est pour vous que j'écris,
Attendez-vous à la pareille.
I
1
I
1
XIX
19
27
Tout babillard, tout censeur, tout pédant,
Se peut connaître au discours que j'avance :
Chacun des trois fait un peuple fort grand ;
Le Créateur en a béni l'engeance.
En toute affaire ils ne font que songer
Aux moyens d'exercer leur langue.
Hé ! mon ami, tire-moi de danger :
Tu feras après ta harangue.
I
1
I
1
XX
20
12
I
1
I
1
XXI
21
38
A l'oeuvre on connait l'artisan
I
1
I
1
XXII
22
32
Je plie, et ne romps pas

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