Sélection de fables pour les Collèges


20 titres correspondent au critère de sélection

Recueil
Livre
Fable
Titre
Vers
Morale et/ou Extrait
I
1
I
1
I
1
22
Vous chantiez ? j'en suis fort aise.
Eh bien ! dansez maintenant.
I
1
III
3
I
1
84
Quant à vous, suivez Mars, ou l'Amour, ou le Prince ;
Allez, venez, courez ; demeurez en province ;
Prenez femme, abbaye, emploi, gouvernement :
"Les gens en parleront, n'en doutez nullement."
I
1
I
1
II
2
18
Apprenez que tout flatteur
Vit aux dépens que celui qui l'écoute.
I
1
V
5
II
2
31
Ne nous associons qu'avecque nos égaux ;
Ou bien il nous faudra craindre
Le destin d'un de ces Pots .
II
2
VIII
8
II
2
49
Rendez-moi, lui dit-il, mes chansons et mon somme,
Et reprenez vos cent écus.
I
1
I
1
III
3
14
Tout Bourgeois veut bâtir comme les grands Seigneurs
Tout petit Prince a des Ambassadeurs,
Tout Marquis veut avoir des Pages.
I
1
V
5
III
3
25
Un Tien vaut, ce dit-on, mieux que deux Tu l'auras.
L'un est sûr, l'autre ne l'est pas.
II
2
VII
7
IV
4
34
Ne soyons pas si difficiles :
Les plus accomodants, ce sont les plus habiles :
On hasarde de perdre en voulant trop gagner.
Gardez-vous de rien dédaigner,
Surtout quand vous avez à peu près votre compte.
I
1
I
1
IX
9
28
Fi du plaisir
Que la crainte peut corrompre.
II
2
IX
9
IX
9
25
Mettez ce qu'il en coûte à plaider aujourd'hui ;
Comptez ce qu'il en reste à beaucoup de familles ;
Vous verrez que Perrin tire l'argent à lui,
Et ne laisse aux plaideurs que le sac et les quilles.
I
1
I
1
X
10
29
La raison du plus fort est toujours la meilleure.
I
1
VI
6
X
10
35
Rien ne sert de courir, il faut partir à point
II
2
VII
7
X
10
43
Quel esprit ne bat la campagne ?
Qui ne fait châteaux en Espagne ?
I
1
II
2
XI
11
18
Il faut, autant qu'on peut, obliger tout le monde :
On a souvent besoin d'un plus petit que soi.

Patience et longueur de temps
Font plus que force ni que rage.
I
1
III
3
XI
11
8
Ils sont trop verts, dit-il, et bons pour des goujats.
Fit-il pas mieux que de se plaindre ?
I
1
V
5
XIII
13
12
L'avarice perd tout en voulant tout gagner.
...
Pendant ces derniers temps, combien en a-t-on vus
Qui du soir au matin sont pauvres devenus
Pour vouloir trop tôt être riches ?
I
1
I
1
XVIII
18
28
Trompeurs, c'est pour vous que j'écris,
Attendez-vous à la pareille.
I
1
VI
6
XVIII
18
33
Aide-toi, le Ciel t'aidera.
I
1
I
1
XIX
19
27
Tout babillard, tout censeur, tout pédant,
Se peut connaître au discours que j'avance :
Chacun des trois fait un peuple fort grand ;
Le Créateur en a béni l'engeance.
En toute affaire ils ne font que songer
Aux moyens d'exercer leur langue.
Hé ! mon ami, tire-moi de danger :
Tu feras après ta harangue.
I
1
I
1
XXII
22
32
Je plie, et ne romps pas

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